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PORTRAIT DE CHEF : RAFFAELE PIEMONTESE

Fahrenheit Seven Courchevel
26 octobre 2022

L’autodidacte de la cuisine

Raffaele Piemontese, le chef Pizzaiolo du Roc Seven Les Menuires, est un véritable passionné de la cuisine italienne. Originaire des Pouilles, région qui a vu naître quelques uns des plats les plus emblématiques du terroir italien - la burrata, la focaccia, les orecchiette… - Raffaele est un autodidacte de la cuisine.

Tradition italienne oblige !

Ancien directeur de restaurant, il se rend compte petit-à-petit que sa passion peut devenir son métier. Il aime à rappeler qu’il a appris « sur le tas », aux côtés des nombreux chefs dont il s’est entouré au fil des années, en observant leurs gestes et en discutant de leur savoir-faire.

Il se souvient toujours de ses premiers pas en cuisine: « J’arrivais dans ma cuisine et je m’obligeais à inventer chaque jour une nouvelle recette avec ce que je trouvais dans le placard! ».

C’est en 2019 qu’il rejoint son compère Daniele Negri aux fourneaux du Roc Seven et s’installe dans la région. Passionné à la curiosité insatiable, il écrit sa carte au fil de ses inspirations, avec toujours ses trois éléments fétiches : l’huile d’olive, le parmesan & les tomates.

Crédit photo: © Barn Studio

Impossible de prétendre faire de la cuisine italienne si l’on sert à nos clients des pates carbonara à la crème fraîche !

Légende: le Baba au rhum du Roc Seven Les Menuires - Crédit photo: © Barn Studio

Sa conviction ? La seule façon de rendre honneur à ces traditions culinaires qu’il chérit, c’est de travailler avec de vrais produits italiens.

« Impossible de prétendre faire de la cuisine italienne si l’on sert à nos clients des pates carbonara à la crème fraîche ! Avec le Roc Seven, c’est vraiment un bout d’Italie que nous amenons en Savoie, et on ne peut pas faire la cuisine italienne à moitié. Bien sûr, j’adore la gastronomie savoyarde, mais il y a encore beaucoup de produits que l’on ne trouve pas ici. »

Installé depuis 2 ans en Savoie, toujours féru du bon et du beau produit, il arpente les moulins de la région pour trouver la farine qui pourra remplacer celle qu’il importe aujourd’hui d’Italie, avec le rêve de pouvoir un jour s’approvisionner uniquement en local.